
Comme à l’accoutumé nous avions mis nos masques, non pas ceux de la comédie mais ceux hygiéniques pour lutter contre un drôle de microbe…..
Comme à l’accoutumé les jeunes nous attendaient , respectueux, mais apparemment heureux, notre langage fut donc nos regards …..
Mais que diable ! le bunraku n’a besoin ni des yeux, ni de la bouche, mais seulement de la créativité et là enfin nous fûmes récompensés. Dessins, voix, textes, rires, et surtout l’envie de transmettre notre humanité étaient au rendez vous, un grand merci aux élèves du collège, aux professeurs de français, et d’arts plastiques , de donner vie à cette période difficile.